Darwinisme et médecine

· L'Esprit en Eveil
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J’ai regardé avec intérêt, ce matin, la vidéo ci-dessous de François Barthomeuf, ancien aiguilleur du ciel devenu astrologue (…une autre façon de se repérer grâce aux étoiles), intitulée : Armée, Covid, Vaccins : la perte de nos valeurs martiales (cf. ci-dessous, accessible même si l'on ne connaît pas l’astro.)

Sa réflexion rejoint celle que j’ai depuis longtemps sur l’évolution de la médecine. Alors que le darwinisme (même s’il est aujourd’hui nuancé) enseigne que l’évolution des espèces s’est faite grâce à la « survie du plus fort » ; alors que les théories de l’évolution de René Quinton suggèrent que les espèces successives intègrent en elles-mêmes ce qui disparaît de l’environnement extérieur (comme la chaleur, au fil des millions d'années), devenant ainsi de plus en plus complexes et plus autonomes, la médecine moderne a totalement inversé ce courant évolutif : elle nous a rendus toujours plus dépendants d’un nombre croissant de médicaments extérieurs et nous affaiblit ainsi de décennie en décennie. Sans secours extérieurs, voudrait-on nous faire croire, nous ne pouvons pas survivre ni nous reproduire ni mettre des enfants au monde… comme si l’humanité (et tous les animaux) avaient attendu la médecine moderne !

Certes, le discours officiel ne cesse de glorifier les « progrès de la médecine ». Mais, sans remettre en question les prouesses réalisées notamment dans la chirurgie réparatrice, ces progrès sont beaucoup plus nuancés qu’il n’y paraît.

Comment se fait-il qu’il faille désormais dépenser des centaines de milliards chaque année pour maintenir les gens en santé ? 

Pourquoi, malgré ces dépenses colossales, assiste-t-on à une augmentation aussi phénoménale des allergies en tous genres, des intolérances alimentaires, des cas d’autisme, des maladies autoimmunes, mais aussi – bien plus grave ! – à une telle baisse de la fertilité masculine ? 

Sont-ce là des signes de vitalité, de bonne santé collective ? 

On nous vante l’allongement de la durée de la vie. Mais a-t-on seulement été regarder dans quelles conditions tant de nos semblables passent les dix dernières années de leur existence (et à quel coût) ?… 

Comment ne pas voir qu’il y a un affaiblissement significatif de la vitalité, de la santé, de la force de vie de la plupart de nos contemporains ? 

Une population véritablement saine ne dépenserait qu'un minimum pour lutter contre la maladie. Une vraie politique de santé consisterait essentiellement en de la prévention (à ne pas confondre avec la détection précoce des maladies, comme on le fait à tort). La prévention, c’est apprendre à bien respirer, à manger sainement, à gérer ses émotions, à augmenter et renforcer ses défenses immunitaires naturelles. Toutes choses qui peuvent être réalisées à faible coût (et n’ont aucun intérêt commercial). 

Parvenus à l’âge adulte, la majorité d’entre nous devraient savoir s’occuper de leur propre santé (exception faite, bien sûr, des personnes atteintes de pathologies nécessitant des soins spécifiques). Les années passant, nous devrions devenir plus autonomes, plus indépendants, plus résistants, à tous les niveaux, au lieu de voir augmenter d’année en année (et de génération en génération) le nombre de médicaments nécessaires à maintenir une santé approximative. 

Comme le souligne Barthomeuf, nous vivons dans une société qui nous infantilise, qui nous déresponsabilise et, partant, nous prive de la capacité d’aller chercher en nous et de développer pleinement nos ressources intérieures. Et il observe avec malice que le « Nous sommes en guerre » de Macron n’a été suivi que de la seule consigne «  Planquez-vous ! Tous aux abris ! ». On ne nous invite pas à nous battre, à renforcer nos défenses, à lutter… juste à rester enfermés et à attendre une aide extérieure. A-t-on jamais vu un général agir ainsi ? 

Imaginez un instant ce qu’il adviendrait si, demain, un incident nous privait brutalement de tous ces médicaments, soins, prothèses extérieurs, sans lesquels tant de nous ne savent plus vivre ? Quelle hécatombe ! 

Les animaux, eux, n’en seraient pas affectés. 

Bien sûr, il est de notre devoir, en tant que société, de venir en aide aux plus démunis, à celles et ceux qu’affligent des handicaps ou des accidents : nul ne songe à remettre en question cette solidarité. Mais il est tout autant de notre devoir de veiller à renforcer de génération en génération la vitalité de chaque individu, de l’éduquer à atteindre et préserver sa santé, pour qu’il transmette à son tour le meilleur à sa progéniture. 

Pour l’heure, non seulement notre médecine est anti-darwinienne mais, pire, des attaques sont de plus en plus souvent lancées contre ceux et celles qui défendent la prévention véritable et l’éducation à la santé, d’une part, ou qui mettent en oeuvre des médecines et thérapies différentes (il en existe beaucoup), moins agressives, ne développant aucune dépendance, d’autre part.

Au final, c’est toute notre philosophie à l’égard de la vie elle-même, de la santé, de la maladie, de la responsabilité individuelle et de l’entraide collective que la situation actuelle devrait nous conduire à remettre en question… à condition, bien sûr, d’avoir accès à des informations fiables, qui ne peuvent pas émaner de ceux qui font un business obscène de la santé collective et qui semblent ne connaitre plus qu’une seule spécialité médicale : …« l’endoctrinologie » !   ;-) 

Oui, comme le suggère la vidéo ci-dessous, il est grand temps de retrouver une certaine énergie martiale, ne serait-ce qu’en nous-mêmes, de retrouver la combativité naturelle d’un système immunitaire sain et fort, capable de nous protéger des agents pathogènes quels qu’ils soient, comme il l’a fait avec succès depuis l’aube des temps pour toutes les espèces animales… sans quoi elles ne seraient pas là.